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Publier une annonceRéparer un pneumatique : c'est possible !
09/12/2014
On le sait, nos semi-rigides sont d'une très grande tolérance face aux manœuvres un peu brusques ou aux arrivées de quai mal négociées. Ajoutez à cela leur capacité d'emport importantes, leur comportement plutôt sain et sécurisant et on comprend mieux pourquoi tant de plaisanciers - notamment ceux qui disposent d'une grande famille - l'on adopté. Malgré toutes ces qualités, il survient parfois des impacts, des traces d'usures ou des ragages qui aboutissent au trou. La réparation est alors indispensable et plus ou moins simple selon l'accessibilité de la pièce à repositionner.
Une bonne connaissance des colles
Une certaine expérience dans ce domaine est indispensable tout comme une bonne connaissance des colles à employer et des procédures de collages en général. Il faut également savoir que les méthodes ne seront pas les mêmes selon le type de tissu à réparer. Non que les différences soient très flagrantes, mais certaines étapes ne sont pas tout à fait identiques. On peut citer notamment l'abrasion nécessaire des surfaces dans le cas des tissus élastomères (CR-CSM, Hypalon, néoprène, etc.) et qui n'a pas lieu d'être pour les tissus en PVC. D'une manière générale, les travaux entrepris sur ce type d'unité sont assez rapides (hormis le séchage). Sur la facture, le montant correspondant à la main d'œuvre n'est pas forcément très onéreux. En revanche, il peut vite grimper s'il y a des éléments d'accastillage à démonter (poignée, saisine, etc.).
Des réparations à faires soi-même ?
Si certains se sentent l'âme bricoleuse, il est bien évidemment possible de procéder à ces réparations soi-même. Quelques conseils sont toutefois à respecter, à commencer par la réalisation de pièces rondes. Moins les rustines auront des angles vifs, mieux elles résisteront aux déchirements. Sachez également que la base d'un bon collage commence par une surface propre, débarrassée de toute trace de sable, d'ancienne colle, etc. Laissez également sécher le tissu à réparer avant d'intervenir. Enfin, à l'attention de ceux qui achètent un semi-rigide neuf, il n'est pas interdit d'ajouter des pièces de renfort, notamment sur le dessus des flotteurs, pour les protéger d'un usage intensif (plongée, chasse, sports nautiques...).
Une bonne connaissance des colles
Une certaine expérience dans ce domaine est indispensable tout comme une bonne connaissance des colles à employer et des procédures de collages en général. Il faut également savoir que les méthodes ne seront pas les mêmes selon le type de tissu à réparer. Non que les différences soient très flagrantes, mais certaines étapes ne sont pas tout à fait identiques. On peut citer notamment l'abrasion nécessaire des surfaces dans le cas des tissus élastomères (CR-CSM, Hypalon, néoprène, etc.) et qui n'a pas lieu d'être pour les tissus en PVC. D'une manière générale, les travaux entrepris sur ce type d'unité sont assez rapides (hormis le séchage). Sur la facture, le montant correspondant à la main d'œuvre n'est pas forcément très onéreux. En revanche, il peut vite grimper s'il y a des éléments d'accastillage à démonter (poignée, saisine, etc.).
Des réparations à faires soi-même ?
Si certains se sentent l'âme bricoleuse, il est bien évidemment possible de procéder à ces réparations soi-même. Quelques conseils sont toutefois à respecter, à commencer par la réalisation de pièces rondes. Moins les rustines auront des angles vifs, mieux elles résisteront aux déchirements. Sachez également que la base d'un bon collage commence par une surface propre, débarrassée de toute trace de sable, d'ancienne colle, etc. Laissez également sécher le tissu à réparer avant d'intervenir. Enfin, à l'attention de ceux qui achètent un semi-rigide neuf, il n'est pas interdit d'ajouter des pièces de renfort, notamment sur le dessus des flotteurs, pour les protéger d'un usage intensif (plongée, chasse, sports nautiques...).