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Publier une annonceDix stars de l'occasion (voiliers)
11/12/2014
Archambault Surprise
Le surprise est un voilier destiné à la course mais dont la large cabine permet une navigation côtière en croisière. Sa construction est correcte : légère mais robuste. Le chantier Archambault a toujours réalisé des unités de bonne composition. Sa mâture est simple d'utilisation : mât alu avec un étage de barres de flèche poussantes. Sa large diffusion, notamment sur le lac Léman, montre l'intérêt que les coureurs ont porté et portent encore à ce modèle pratiquement indémodable. Deux versions ont été proposées au fil du temps. La deuxième version présente un pont relooké sur une coque qui est toujours la même. La classe Surprise est très active et permet aux propriétaires un grand panel de régates. Avantage et non des moindres, il est transportable et tractable facilement.
Valeur argus : entre 5 630 € et 11 400 € (modèle de plus de 10 ans).
Bénéteau First 31.7
Issu de la carène du premier Figaro, le First 31.7 est un voilier de course-croisière qui a été plébiscité par les coureurs comme par les croiseurs. En mer, il se montre raide à la toile, bon marcheur et fin à la barre. Actuellement, une classe monotype se développe autour de cette série qui n'est plus construite. Son successeur n'a pas encore rencontré le même succès. Sa finition intérieure est de bonne qualité, sa construction de grande série est de bonne tenue dans le temps. Il préfèrera un gréement bien souqué avec un mât légèrement pré-cintré ; ne pas hésiter à acheter des voiles de près fines d'attaque, il donnera toute la mesure de ses capacités dans 15 à 20 nœuds de vent sous cette allure. Sous spinnaker, il est relativement stable.
Valeur argus : 28 000 € (modèle de plus de 10 ans).
Dufour 34
C'est un des rares Dufour actuel qui sort du rang de l'uniformité des modèles présentés par ce constructeur. Logeable, les croiseurs l'apprécient pas une disposition simple et fonctionnelle, un plan de pont facile avec des manœuvres de cockpit bien organisées qui réjouit « les coureurs du dimanche ». La fabrication des modèles est correcte, l'intérieur est un peu sombre mais les boiseries standards sont de bonne qualité. Seul point discutable, la barre à roue dans le cockpit qui aurait pu être remplacée par une simple barre franche : agrandissement de l'espace et facilité de manœuvre en solitaire ou en équipage réduit. Il ne s'agit pas d'un modèle exceptionnel mais d'un bon standard dans la construction actuelle.
Valeur argus : entre 22 500 et 28 700 € (modèle de plus de 10 ans).
Jeanneau Sunrise
Il est des voiliers qui marquent leur décennie, le Sunrise 34 fait partie de ceux-là. La carène signée Jacques Fauroux est performante, le bateau est stable à toutes les allures : près, débridé et portant. La construction du chantier Jeanneau a montré quelques défauts de jeunesse (absence de varangue entre la descente et le carré, ce qui rendait la coque un peu souple quand on la positionnait sur un ber) qui ont été vite rectifiés. Son vieillissement est correct et il garde une bonne côte sur le marché de l'occasion. Il faut choisir de préférence le modèle quillard, renforcé au niveau arrière de la quille (varangue) dont le moteur a été remplacé et la voilure renouvelée.
Valeur argus : entre 23 000 € et 38 100 € (modèle de plus de 10 ans).
Gibert Marine Gibsea 105
La carène est volumineuse à l'arrière et les formes sont relativement plates. C'est un voilier particulièrement habitable dont les performances sous spinnaker sont réelles. Il n'a pas été dessiné pour la jauge de l'époque ce qui en fait un réel croiseur avec tous les avantages d'un bon marcheur. En quillard comme en dériveur lesté, ce voilier est de tous les programmes de navigation. Il faudra privilégier les navires dont la motorisation a été remplacée. Un vérification du gréement est à prévoir, voir un remplacement si cela n'a pas été réalisé dans les dix années. La finition Gibert Marine de l'époque était relativement basique, il faut parfois prévoir quelques travaux de remise à niveau sur les modèles présentés.
Valeur argus : entre 27 000 € et 32 800 € (modèle de plus de 10 ans).
Kirié Feeling 29 DI
Dans la lignée de l'un des premiers dériveurs intégraux sur plan Vaton (le Kelt 8.50 DI), le Feeling 29 DI reprend cette formule chère aux amateurs de rase cailloux et à l'échouage dans les mouillages inaccessibles pour une bonne majorité des voiliers. La construction est innovante : une semelle de lest dans lequel pivote une dérive lesté. Cette semelle permet un échouage sans danger pour la coque. En navigation, il ne faut pas s'attendre à des performances magnifiques au près serré, cependant, avec une bonne gestion de la voilure pour ne pas trop faire giter le bateau, on peut s'en tirer avec honorabilité. Coté habitabilité, les volumes sont confortables et spacieux, la finition est correcte.
Valeur argus : entre 20 600 € et 29 100 € (modèle de plus de 10 ans).
Bénéteau Océanis 411
Le voilier de croisière par excellence dans une gamme largement étendue. L'Océanis 411 montre bien toutes les possibilités d'aménagements dans un croiseur de grande distribution : bonne qualité des boiseries, l'espace est géré au maximum de ses possibilités. La construction de coque et de pont ainsi que les renforts contremoulés montrent le savoir-faire d'un chantier de taille internationale. Déjà d'une longueur au-dessus de la moyenne, l'Océanis 411 garde une bonne cote sur le marché de l'occasion.
Valeur argus : 67 900 € (modèle de plus de 10 ans).
Wauquiez Centurion 40
Comme ses prédécesseurs, le Centurion 40 est marqué par sa fabrication de réputation « sur et solide ». C'est un voilier d'un déplacement plutôt lourd qui aime faire du cap. Sa voilure généreuse, notamment dans sa version S, lui permet des performances au près qui séduisent les amateurs de voilier rapide et confortable. L'intérieur est traité avec des bois exotiques qui montrent un certain luxe dans la finition. Les équipements techniques sont à la hauteur de la réputation du chantier tant dans l'électricité, la mécanique ou la plomberie. La signature du dessin par le cabinet Berret-Racoupeau allié au savoir faire d'un chantier de bonne réputation, donne un résultat à la hauteur des espérances.
Valeur argus : entre 66 100 € et 108 000 € (modèle de plus de 10 ans).
Structures Pogo 8.50
Fer de lance avec le Pogo 6.50 du chantier Structures, le Pogo 8.50 est un voilier atypique qui garde une très bonne côte sur le marché de l'occasion. La construction est simple et sans fioriture intérieure. Il s'agit d'un voilier robuste et fiable, facile d'entretien et qui procure un réel plaisir sous voile. La manœuvre est aisée et la performance est là. Le double safran de série donne une manœuvrabilité incontestable. A l'intérieur, pas de boiseries ou vernis encombrants, d'un entretien simplifié, cet aménagement est le plaisir du marin : bonnes prises à la gîte, vision agréable par le roof. Concernant la structure, nous avons particulièrement aimé le puits de quille varangué tout à fait sécurisant.
Valeur argus : 27 200 € (modèle de plus de 10 ans).
Outremer 40
Dans la catégorie des catamarans de croisière, la gamme des Outremer reste liée à la performance. Voulu par son architecte, concepteur et fondateur du chantier Gérard Danson, cet état est le point fort de l'Outremer 40. Sa construction en sandwich polyester lui permet de satisfaire aux exigences d'un vrai catamaran à voile : légèreté. Sa conception avec dérives sabres lui ouvre les portes de la performance à toutes les allures, loin devant tous ses adversaires de même taille. L'aménagement est sobre mais l'espace est grand ce qui en fait un voilier de croisière de premier ordre. Dans la brise, il faut cependant veiller aux grains et ne pas de laisser surprendre par une risée soudaine : restez proche de l'écoute de grand voile !
Valeur argus : entre 50 000 € et 124 000 € (modèle de plus de 10 ans).
Le surprise est un voilier destiné à la course mais dont la large cabine permet une navigation côtière en croisière. Sa construction est correcte : légère mais robuste. Le chantier Archambault a toujours réalisé des unités de bonne composition. Sa mâture est simple d'utilisation : mât alu avec un étage de barres de flèche poussantes. Sa large diffusion, notamment sur le lac Léman, montre l'intérêt que les coureurs ont porté et portent encore à ce modèle pratiquement indémodable. Deux versions ont été proposées au fil du temps. La deuxième version présente un pont relooké sur une coque qui est toujours la même. La classe Surprise est très active et permet aux propriétaires un grand panel de régates. Avantage et non des moindres, il est transportable et tractable facilement.
Valeur argus : entre 5 630 € et 11 400 € (modèle de plus de 10 ans).
Bénéteau First 31.7
Issu de la carène du premier Figaro, le First 31.7 est un voilier de course-croisière qui a été plébiscité par les coureurs comme par les croiseurs. En mer, il se montre raide à la toile, bon marcheur et fin à la barre. Actuellement, une classe monotype se développe autour de cette série qui n'est plus construite. Son successeur n'a pas encore rencontré le même succès. Sa finition intérieure est de bonne qualité, sa construction de grande série est de bonne tenue dans le temps. Il préfèrera un gréement bien souqué avec un mât légèrement pré-cintré ; ne pas hésiter à acheter des voiles de près fines d'attaque, il donnera toute la mesure de ses capacités dans 15 à 20 nœuds de vent sous cette allure. Sous spinnaker, il est relativement stable.
Valeur argus : 28 000 € (modèle de plus de 10 ans).
Dufour 34
C'est un des rares Dufour actuel qui sort du rang de l'uniformité des modèles présentés par ce constructeur. Logeable, les croiseurs l'apprécient pas une disposition simple et fonctionnelle, un plan de pont facile avec des manœuvres de cockpit bien organisées qui réjouit « les coureurs du dimanche ». La fabrication des modèles est correcte, l'intérieur est un peu sombre mais les boiseries standards sont de bonne qualité. Seul point discutable, la barre à roue dans le cockpit qui aurait pu être remplacée par une simple barre franche : agrandissement de l'espace et facilité de manœuvre en solitaire ou en équipage réduit. Il ne s'agit pas d'un modèle exceptionnel mais d'un bon standard dans la construction actuelle.
Valeur argus : entre 22 500 et 28 700 € (modèle de plus de 10 ans).
Jeanneau Sunrise
Il est des voiliers qui marquent leur décennie, le Sunrise 34 fait partie de ceux-là. La carène signée Jacques Fauroux est performante, le bateau est stable à toutes les allures : près, débridé et portant. La construction du chantier Jeanneau a montré quelques défauts de jeunesse (absence de varangue entre la descente et le carré, ce qui rendait la coque un peu souple quand on la positionnait sur un ber) qui ont été vite rectifiés. Son vieillissement est correct et il garde une bonne côte sur le marché de l'occasion. Il faut choisir de préférence le modèle quillard, renforcé au niveau arrière de la quille (varangue) dont le moteur a été remplacé et la voilure renouvelée.
Valeur argus : entre 23 000 € et 38 100 € (modèle de plus de 10 ans).
Gibert Marine Gibsea 105
La carène est volumineuse à l'arrière et les formes sont relativement plates. C'est un voilier particulièrement habitable dont les performances sous spinnaker sont réelles. Il n'a pas été dessiné pour la jauge de l'époque ce qui en fait un réel croiseur avec tous les avantages d'un bon marcheur. En quillard comme en dériveur lesté, ce voilier est de tous les programmes de navigation. Il faudra privilégier les navires dont la motorisation a été remplacée. Un vérification du gréement est à prévoir, voir un remplacement si cela n'a pas été réalisé dans les dix années. La finition Gibert Marine de l'époque était relativement basique, il faut parfois prévoir quelques travaux de remise à niveau sur les modèles présentés.
Valeur argus : entre 27 000 € et 32 800 € (modèle de plus de 10 ans).
Kirié Feeling 29 DI
Dans la lignée de l'un des premiers dériveurs intégraux sur plan Vaton (le Kelt 8.50 DI), le Feeling 29 DI reprend cette formule chère aux amateurs de rase cailloux et à l'échouage dans les mouillages inaccessibles pour une bonne majorité des voiliers. La construction est innovante : une semelle de lest dans lequel pivote une dérive lesté. Cette semelle permet un échouage sans danger pour la coque. En navigation, il ne faut pas s'attendre à des performances magnifiques au près serré, cependant, avec une bonne gestion de la voilure pour ne pas trop faire giter le bateau, on peut s'en tirer avec honorabilité. Coté habitabilité, les volumes sont confortables et spacieux, la finition est correcte.
Valeur argus : entre 20 600 € et 29 100 € (modèle de plus de 10 ans).
Bénéteau Océanis 411
Le voilier de croisière par excellence dans une gamme largement étendue. L'Océanis 411 montre bien toutes les possibilités d'aménagements dans un croiseur de grande distribution : bonne qualité des boiseries, l'espace est géré au maximum de ses possibilités. La construction de coque et de pont ainsi que les renforts contremoulés montrent le savoir-faire d'un chantier de taille internationale. Déjà d'une longueur au-dessus de la moyenne, l'Océanis 411 garde une bonne cote sur le marché de l'occasion.
Valeur argus : 67 900 € (modèle de plus de 10 ans).
Wauquiez Centurion 40
Comme ses prédécesseurs, le Centurion 40 est marqué par sa fabrication de réputation « sur et solide ». C'est un voilier d'un déplacement plutôt lourd qui aime faire du cap. Sa voilure généreuse, notamment dans sa version S, lui permet des performances au près qui séduisent les amateurs de voilier rapide et confortable. L'intérieur est traité avec des bois exotiques qui montrent un certain luxe dans la finition. Les équipements techniques sont à la hauteur de la réputation du chantier tant dans l'électricité, la mécanique ou la plomberie. La signature du dessin par le cabinet Berret-Racoupeau allié au savoir faire d'un chantier de bonne réputation, donne un résultat à la hauteur des espérances.
Valeur argus : entre 66 100 € et 108 000 € (modèle de plus de 10 ans).
Structures Pogo 8.50
Fer de lance avec le Pogo 6.50 du chantier Structures, le Pogo 8.50 est un voilier atypique qui garde une très bonne côte sur le marché de l'occasion. La construction est simple et sans fioriture intérieure. Il s'agit d'un voilier robuste et fiable, facile d'entretien et qui procure un réel plaisir sous voile. La manœuvre est aisée et la performance est là. Le double safran de série donne une manœuvrabilité incontestable. A l'intérieur, pas de boiseries ou vernis encombrants, d'un entretien simplifié, cet aménagement est le plaisir du marin : bonnes prises à la gîte, vision agréable par le roof. Concernant la structure, nous avons particulièrement aimé le puits de quille varangué tout à fait sécurisant.
Valeur argus : 27 200 € (modèle de plus de 10 ans).
Outremer 40
Dans la catégorie des catamarans de croisière, la gamme des Outremer reste liée à la performance. Voulu par son architecte, concepteur et fondateur du chantier Gérard Danson, cet état est le point fort de l'Outremer 40. Sa construction en sandwich polyester lui permet de satisfaire aux exigences d'un vrai catamaran à voile : légèreté. Sa conception avec dérives sabres lui ouvre les portes de la performance à toutes les allures, loin devant tous ses adversaires de même taille. L'aménagement est sobre mais l'espace est grand ce qui en fait un voilier de croisière de premier ordre. Dans la brise, il faut cependant veiller aux grains et ne pas de laisser surprendre par une risée soudaine : restez proche de l'écoute de grand voile !
Valeur argus : entre 50 000 € et 124 000 € (modèle de plus de 10 ans).