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Publier une annonceConstruction amateur : les pièges à éviter
29/05/2014
Dans la recherche du bateau de ses rêves, la construction amateur peut révéler bien des avantages, car outre la possibilité de trouver le mouton à 5 pattes, les prix sont souvent séduisants pour des unités devant lesquelles il faut toutefois être vigilant. Souvent construites pour voyager, les unités dites « amateur » commencent à fleurir sur le marché de l'occasion. Il faut cependant prendre beaucoup de précautions à l'achat de ce type de bateau, précautions techniques bien sûr, mais également administratives.
Une expertise obligatoire
Dans un premier temps, il faut procéder à une expertise « technique » très approfondie du bateau, et s'appuyer si possible sur le suivi de la construction, l'architecte, voir les factures d'achat des matériaux et évidemment mandater un expert lors de cette visite, qui vous guidera de façon impartiale sur l'aspect technique de la transaction. En ce qui concerne les plans, ils doivent avoir été achetés auprès d'un architecte reconnu (trace d'achat), car ils sont théoriquement approuvés par la commission nationale de sécurité de la navigation de plaisance. Dans le cas contraire, les plans amateurs dessinés « moi-même le week-end » doivent avoir étés déposés au centre de sécurité des navires, et approuvés. (Une plaque signalétique est apposée sur la coque du navire, comme preuve d'approbation). La construction du bateau doit respecter les plans à la lettre, que ce soit pour les formes ou pour l'échantillonnage, tout à été calculé, équilibré, stabilité, structuré...
Le meilleur comme le pire
Conclusion : la construction « amateur » (nous préférons utiliser le mot « privée ») peut faire découvrir le meilleur comme le pire. On peut trouver des constructions très soignées où des semi professionnels n'ont pas compté leurs heures pour apporter une finition de qualité supérieure, comme on peut trouver des bateaux réalisés par des amateurs rêveurs qui ont beaucoup plus lu les récits que navigué eux-mêmes. Il faut donc faire preuve d'une grande prudence sans négliger la piste de la construction privée.
Une expertise obligatoire
Dans un premier temps, il faut procéder à une expertise « technique » très approfondie du bateau, et s'appuyer si possible sur le suivi de la construction, l'architecte, voir les factures d'achat des matériaux et évidemment mandater un expert lors de cette visite, qui vous guidera de façon impartiale sur l'aspect technique de la transaction. En ce qui concerne les plans, ils doivent avoir été achetés auprès d'un architecte reconnu (trace d'achat), car ils sont théoriquement approuvés par la commission nationale de sécurité de la navigation de plaisance. Dans le cas contraire, les plans amateurs dessinés « moi-même le week-end » doivent avoir étés déposés au centre de sécurité des navires, et approuvés. (Une plaque signalétique est apposée sur la coque du navire, comme preuve d'approbation). La construction du bateau doit respecter les plans à la lettre, que ce soit pour les formes ou pour l'échantillonnage, tout à été calculé, équilibré, stabilité, structuré...
Le meilleur comme le pire
Conclusion : la construction « amateur » (nous préférons utiliser le mot « privée ») peut faire découvrir le meilleur comme le pire. On peut trouver des constructions très soignées où des semi professionnels n'ont pas compté leurs heures pour apporter une finition de qualité supérieure, comme on peut trouver des bateaux réalisés par des amateurs rêveurs qui ont beaucoup plus lu les récits que navigué eux-mêmes. Il faut donc faire preuve d'une grande prudence sans négliger la piste de la construction privée.